L’emblème de la France, le coq français ou coq gaulois, est très célèbre dans le monde entier, mais son origine est mal connue. En effet, que signifie le symbole du coq français ? Pourquoi avoir choisi un coq, et pourquoi est-il Gaulois ? La réponse classique c’est de dire qu’il provient du terme gallus (signifie à la fois coq et gaulois en latin) qui était le sobriquet que les Romains donnaient aux Gaulois, or gallus signifie coq en latin… Cette explication est hasardeuse et erronée, nous allons le démontrer, en vérité ce symbole signifie quelque chose de très important qui révèle des origines beaucoup plus nobles qu’un simple jeu de mots qui s’avère être une raillerie des envahisseurs romains. Les symboles ne sont jamais choisis sur de simples jeux de mots, mais bien pour leur signification symbolique destinée à délivrer un message d’une grande importance. Article lié au documentaire vidéo : Le sens caché du Coq gaulois
Coq gaulois : sa véritable origine n'est pas liée à "Gallus"
L’explication officielle qui nous est donnée, c’est que l’emblème de la France viendrait du terme gallus (signifie à la fois coq et gaulois en latin). Ce symbole du coq gaulois viendrait donc d’une simple coïncidence linguistique latine, entre gallus = coq et gallici = gaulois. La France aurait choisi comme emblème national un surnom donné par les envahisseurs romains pour moquer les gaulois ! C’est comme si les anglais avaient adopté comme symbole national le rosbeef puisque que les français, qui ont eux aussi déjà envahi l’Angleterre, appelaient les anglais les rosbeef pour se moquer d’eux ! Cette explication stupide subsiste pourtant à cause de la domination des latinistes dans les universités et académies d’histoire, qui nous rabâchent sans cesse la propagande de l’empire romain et de la France chrétienne ! Cette explication est politique, et le latinisime vaticanesque anti-gaulois en est l’origine.
C’est un fait établi que la racine latine « gall » est liée au coq et aux gallinacés (le terme français dérive du latin), mais le terme « gallici » qui a donné le français « gaulois » est apparu plus tard. En effet, seuls les Romains ont employé ce terme de gallici (gaulois) et de Gallia (Gaule) pour désigner le monde celtique. Les Grecs eux appelaient les habitants de cette région nommée la celtique les Celtes, or les textes grecs sont également plus anciens que les latins. Historiquement les habitants d’Europe de l’ouest étaient nommé « Celtes » par les grecs, et « Keltes » par les Celtes eux-mêmes (le mot kelte est encore présent dans le vieux breton).
Le mot "gaulois" a été inventé par les latins
Le mot gallus est à l’origine du mot gaulois, mais il n’est pas à l’origine du symbole du coq, qui lui était déjà lié aux celtes, cette confusion doit être clarifiée : L’usage du terme « coq » pour désigner un celte était tellement courant chez les latins, que le mot « gallici » a officiellement été créé pour désigner le celte, et le mot « gallia » leur territoire : la Celtique. C’est donc par la francisation de Gallia en Gaule, que ce pays s’est nommé ainsi, mais c’est toujours la Celtique pour les puristes. C’est donc seulement parce que les habitants de cette région d’Europe qui est aujourd’hui la France, étaient appelés « les coqs » (gallus en latin) par les romains, que les mots gaulois et gaule furent plus tard créés en français.
Cela explique donc l’origine du mot Gaule, mais pas l’origine du symbole de la France, l’ancienne Celtique. Pourquoi donc les romains surnommaient ils les celtes les coqs ? Tout simplement parce-que les celtes eux-mêmes aimaient se surnommer ainsi, le coq était un des symboles utilisé par les celtes, et il était probablement devenu l’un des principaux symboles de Vercingétorix qui en avait fait envoyer un à César pour le provoquer. Comme les romains avaient pour symbole l’aigle, le duel entre les deux oiseaux, largement à l’avantage de l’aigle, convenait bien aux romains dominateurs et railleurs, mais pour les celtes, le sens du symbole du coq était bien différent.
Le mot gallus explique l’origine du mot gaulois, mais il n’explique pas pourquoi le coq a été choisi comme symbole du pays des celtes.
Emblème de la France : Le coq d'or
L’origine du symbole du coq gaulois est donc celte, mais alors pourquoi les celtes avaient-ils choisi ce symbole ? Et pourquoi la France choisi-t-elle ce symbole des siècles plus tard pour elle même ? Est-ce pour les mêmes raisons que les celtes ? Comme ce coq est explicitement gaulois, on peut penser que oui, mais passons en revue les monuments dédiées au Coq gaulois.
Le coq d'or de Sens
Au sommet de la Mairie de Sens, trône un magnifique coq d’or, un coq doré, tenu par un brave gaulois. Ce gaulois n’est pas n’importe qui, il s’agit du héros légendaire Brennus. Le coq d’or de Sens va faire sens quand vous serez arrivé à la fin de l’article !
Le coq du sommet des églises
Mais le coq gaulois doré de Sens n’est pas seul à être perché très haut, puisqu’en France, il y a des milliers de coqs qui trônent au sommet de certaines églises, les vieilles églises romanes et gothiques.
La race de coq : Le gaulois doré
Le Coq de Sens, n’est pas seul non plus à être doré, puisqu’il existe une race de Coq qui se nomme le gaulois doré, sa femelle la poule s’appelle la gauloise dorée
Le coq de l'Élysée
Mais ce n’est pas tout, le coq d’or trône même sur le portail arrière des jardins de l’Élysée, on appel cette porte « la grille du Coq ». C’est sous le 3eme république, autour de l’année 1905, année de la loi de la laïcité, que la grille arrière de l’Élysée fut orné d’un coq d’or.
Le symbole des Girondins, révolutionnaires déchus
Si le Coq d’or gaulois, trône symboliquement sur la France, c’est principalement parce que c’est un symbole de la révolution Française, il était un symbole du parti des girondins, ces grands perdants de la révolution, qui ont été assassinés pendant la terreur par les montagnards. Mais avant de mourir, les girondins de l’assemblée constituante, avaient tout de même eu le temps d’établir la déclaration des droits de l’homme, et de fixer l’oiseau à la crête comme emblème national.
Coq gaulois : L'Histoire
Le coq gaulois fut officiellement instauré comme emblème de la nation lors de la révolution française, en 1791, sous l’influence de l’assemblée constituante qui forma le parti des girondins. Mais dès 1793, s’enclencha une seconde révolution : la terreur de 1793 qui aboutira à l’assassinat des girondins, puis, plus tard, au renversement de la république par l’empire de Napléon Bonaparte. C’est à ce moment, en 1804, que le Coq fut renversé par Napoléon qui le remplace par l’aigle impériale, symbole de la Rome antique.
« Le coq n’a point de force, il ne peut être l’image d’un empire tel que la France » (Napoléon Ier)
Le coq gaulois contre l'aigle romain
L’aigle est un symbole des empires autoritaires qui imposent leur loi par la force et non la démocratie.
L’empire esclavagiste romain avait l’aigle pour emblème, et son affrontement avec le Coq gaulois est illustré par l’histoire du coq au vin de chanturgue, qui raconte comment Jules César a envoyé à Vercingétorix un coq cuisiné au Vin, afin de moquer les gaulois.
Le symbole du Coq est d’origine gauloise, le coq était déjà présent sur les premières monnaies gauloises, et on sait aussi que Vercingétorix avant la bataille de Gergovie avait fait envoyé un Coq gaulois à Jules César pour le provoquer, pour répondre César l’avait alors cuisiné au Vin.
Alors que les latinistes, eux, réduisent l’origine du coq gaulois à un jeu de mot en latin avec le mot Gallus, mais c’est pas parce que les latinistes sont influents dans les académies qu’ils ont raison… Le Coq gaulois est gaulois !
Reste à savoir pourquoi cet animal si saugrenu a été choisi comme emblème
Durant le moyen-âge chrétien, le coq disparaît des emblèmes de la France, Le coq est devenu à cette époque un animal dévalorisé associé à la luxure, la colère, la bêtise ou à son côté belliqueux. Cette vision correspond à l’image négative que les romains ont du Coq, logique puisque l’église catholique, qui dominait alors la France, est romaine.
De la Renaissance au XXe siècle
Il faut attendre la Renaissance pour que le Coq renaisse parmi les symboles de la France, c’est la dynastie des Valois qui va relancer l’emblème, l’effigie des rois de France est alors souvent accompagnée de cet animal qui représente la France gauloise, c’est-à-dire la France indépendante de Rome. En effet les Valois rendirent la France indépendante de Rome et tinrent tête aux papes jusqu’aux guerres de religions, à la suite desquelles la Dynastie des Valois fut éliminée.
Les rois Bourbons redonnèrent alors les pleins pouvoirs à Rome et le Coq fut à nouveau en dedans. Il faudra alors attendre la révolution française pour que le Coq redevienne l’animal national.
Après avoir été déchu par l’aigle de Napoléon, le Coq ne retrouvera son statut que par la proclamation de la seconde république en 1848. « Les textes polémiques opposent alors souvent le coq gaulois et l’aigle de ses ennemis, roi des airs » Lors des XIXe et XXe siècles, longtemps après avoir fait face à l’empire romain, le coq gaulois incarne désormais l’opposition face à l’aigle de l’empire Allemand.
Coq français : Symbole de la religion gauloise !
Lorsque le Coq a été officiellement adopté lors de la révolution française, il avait été choisi pour sa vigilance et non pour son aspect combatif, comme le précise la loi du 9 avril 1791, établie sous la Révolution, qui qualifie le Coq de « symbole de vigilance »
Le sens symbolique du Coq
Parmi tous les animaux, le coq est le premier a percevoir la lumière du Soleil dans l’obscurité, en cela il symbolise la vigilance, pour traduire en des termes concrets, le Coq est l’animal qui figure par excellence le passage de l’obscurité à la lumière : Il figure le retour du soleil, la sortie des ténèbres, le retour de la lumière.
La fonction principale du Coq est de réveiller tout le monde
par son cri, c’est un alerteur, un messager.
La véritable religion gauloise est odinique
Il existe justement une religion dans laquelle on retrouve un coq d’or perché en hauteur, à l’image du coq de Sens et des autres coq dorés ou perchés de France. Dans cette religion le coq doré a un rôle très important, c’est un personnage à part entière que l’on nomme Vidofnir, et c’est dans la religion Viking, dite nordique qu’il existe.
Dans l’Edda, les textes sacrés de la religion Viking, un Coq d’or étincelant se trouve au sommet de l’arbre Mimameid, l’arbre de Mimir, qui est lié à l’arbre monde Yggdrasil (prononcer Uguedrasil) qui est au centre de l’univers viking. L’arbre de Mimir, est l’arbre de la mémoire et des vérités cachées. Le Coq Vidofnir qui est juché à son sommet, attend avec la plus grande vigilance, le retour de la lumière de la vérité sur le passé, le retour du soleil de la connaissance vraie.
Lorsqu’il a enfin discerné les premiers rayons de cette lumière vérité, Vidofnir en alerte le monde entier. L’arbre de Mimir de Mimir est une allégorie pour exprimer des connaissances qui existent vraiment, or ces connaissances se trouvent en en Gaule, en France, c’est pourquoi le Coq doré est gaulois et qu’il est le symbole de la France.
Vidofnir est aussi appelé le coq crête d’or, Gullinkambi en langue norroise. Lorsque le Coq d’or chante, il le fait également chez les dieux et il réveille tous les guerriers de Odin.
Les girondins : des initiés Odiniques (Vikings)
Parmi les girondins, ceux qui ont instauré le coq comme emblème national, se trouvaient des francs-maçons qui était des initiés odiniques, ils savaient parfaitement pourquoi ils avaient choisi ces 3 symboles : l’Œil d’Odin – le Coq d’or et les Cornes d’Odin. Mais les girondins seront assassinés par les Montagnards qui ne révéleront jamais le sens de ces symboles.
La lumière est un symbole de la révolution, la philosophie des lumières avait pour but de sortir la France de l’obscurantisme religieux catholique, pour lui amener une connaissance laïque, pour lui amener la lumière de la vérité. Cette symbolique provient de la religion odinique et du coq Vidofnir, la franc-maçonnerie a pioché ses inspirations et ses symboles dans la religion gallo-viking, mais paradoxalement, les francs maçons maintiendront la religion catholique comme religion d’état, sans jamais évoquer les sources de leurs inspirations… Ce paradoxe s’explique très simplement, il y avait différents types de franc-maçonneries, et en 1793, une guerre à mort eu lieu entre francs-maçons, et les Girondins d’inspiration odinique, furent vaincus.
Les textes sacrés à l'origine du coq gaulois :
L'EDDA et le Coq Gaulois - Le secret du coq gaulois révélé par la mythologie nordique
Les textes sacrés de la religion gauloise sont dans l’Edda, puisque les Vikings étaient des gaulois en guerre pour défendre leur religion odinique. Nous avons dans cette édition exceptionnelle « L’Edda et le coq gaulois » réunis les poèmes qui racontent l’histoire du coq d’or Vidofnir à l’origine du Coq gaulois. Il est juché au sommet de Mimameid / Yggdrasil , l’arbre de Mimir, l’arbre de la connaissance caché pour scruter le retour de la vérité et en alerter le monde entier.
François 1er et les Valois (devenus odiniques grâce à Jeanne d’Arc), bien avant les girondins, remirent le coq comme emblème de la France. Plus qu’un symbole gaulois de lutte contre l’obscurantisme religieux catholique et les mensonges des institutions modernes d’histoire, c’est un symbole qui nous invite à nous réveiller, à retrouver notre véritable histoire, notre véritable identité celte, notre vraie religion odinique, le Coq éveille notre conscience.
Le coq d’or laissé par nos sages ancêtres est une porte d’entrée vers le message codé des dieux, ce langage des symboles permet de sortir de la matrice, de sortir des mensonges des latinistes, de libérer sa conscience en rétablissant le lien spirituel avec nos ancêtres celtes, avec nos dieux et nos déesses, qui ont toujours été présents. Tout est une question de regard, de compréhension, les choses sont là, il suffit d’ouvrir l’œil.
Le Coq d’or odinique, c’est notre trésor, c’est le réveil des consciences, le réveil des fils du père des valeureux, le très haut, le dieu suspendu, le dieu des pendus, le dieu borgne, Odin. C’est aussi le réveil des filles de lumières, des filles de Freya la grande et sublime déesse en l’honneur de qui nos ancêtres avaient bâti Notre-Dame, un autre nom de notre grande déesse !