Le terme “païenne”, visait les femmes paysannes/polythéistes, villageoises qui refusaient de se  convertir aux trois grandes religions abrahamiques, monothéistes et totalitaires au entre le VIIIe et le XVIIe siècle  de notre ère. 

Mais… ? 

Qui étaient vraiment ces femmes diabolisées (injustement appelées « sorcières ») qui alimentent les légendes et le folklore et qui  ont suscité tant de haine, de mépris, de la part des inquisiteurs dans le monde ? Que leur  reproche-t-on réellement ?

Païenne, une femme libre

La femme païenne était en vérité jugée trop belle, avec un esprit libre et insoumis à une  quelconque obligation dictée par un régime supprimant la libre pensée et la possibilité de  choisir. Elle rejetait le dieu unique, fondé sur une pensée unique, la peur et  l’asservissement.

La femme païenne était l’essence, l’âme originelle de la féminité et de la femme libre. Elle  incarnait la femme dans sa nature la plus profonde. Très proche de son environnement,  connectée aux astres, au monde invisible (ancêtres et dieux de ses ancêtres), la terre ainsi  qu’aux trois éléments qui la compose, elle connaissait parfaitement les lois qui régissent le 

cours naturel de la vie au fil des saisons, célébrant dans la joie et l’amour chacune d’elles par  le chant, la danse et la musique. De ce fait, elle vivait pleinement sa féminité, son expérience  terrestre sur terre. C’était une femme équilibrée, qui était libre dans ses choix de vie.

Une femme forte et bien ancrée

S’il a été si compliqué de soumettre une telle femme face à l’oppression qui planait pendant  ces guerres de religion, c’est grâce à son amour de la liberté et son puissant mental. Elle  maîtrisait les connaissances psychiques et physiques du corps et de l’esprit. Elle était reliée à  ses racines et très consciente de qui elle était, d’où elle venait et où elle retournerait à sa  mort.

Préparée à ce type d’évènement, sa capacité à supporter le poids menaçant de la violence  était impressionnante, pouvant faire d’elle une résistante et guerrière redoutable face à  l’adversité.

Médecine traditionnelle et agriculture

C’est également auprès d’elle que l’on pouvait trouver les soins et remèdes naturels  préventifs ou de guérison face aux blessures externes ou aux déséquilibres internes du corps  qui causent la maladie. Guérisseuse, elle avait les connaissances des fondements de la  médecine traditionnelle, pouvant manipuler les énergies et fabriquer des mélanges à base  de plantes qu’elle avait cultivées ou trouvées dans la nature. La femme païenne cultivait ses  plantations médicinales et alimentaires qui lui serviraient pour ses remèdes, mais aussi pour la  nourriture au sein du foyer. Maîtrisant cette pratique en tant que femme symboliquement  reliée aux déesses mères, son rôle apportait un soin particulier à la maturation et pousses  des semences.

Broderie et tissage

La femme païenne maîtrisait également l’art du tissage et de la broderie. La fabrication de  vêtements, revêtements ou accessoires tissés ou brodés de motifs géométriques et de  forme végétale ou animale, n’étaient pas juste décoratifs ; ils avaient un sens, une  histoire, une sorte de code identitaire philosophique lié à l’agriculture et la nature dans son  ensemble. On retrouve ce type de tissage partout dans le monde. L’homme avait également 

accès au tissage. Chez les Berbères ou les Péruviens par exemple, on trouve encore des  hommes qui tissent, qui brodent ou tricotent parmi les femmes dans les villages reculés et  locaux, malgré la disparition progressive de cette pratique artisanale et ancestrale.

Païenne et transmission du tissage

Encore présent dans certains milieux ruraux reculés du monde de l’élevage, le travail de la tisseuse est depuis longtemps une tradition féminine qui se transmet de mère en fille. C’est la femme qui assure toutes les tâches qui cheminent après la tonte des moutons ou chèvres, assuré par l’homme. C’est elle qui se charge de la préparation, du lavage, des couleurs et des peintures, ainsi que du stockage et du filage de la laine, puis enfin,  le montage du métier à tisser et le tissage. La femme païenne tisse pour la maison, pour le mariage des filles et des fils, mais aussi pour les hommes, elle tisse les fils de la vie : la vie, la mort, la virginité, l’accouplement, la naissance et l’amour… Ces étapes que le vie offre, la tisseuse transmet le miroir de la terre et du monde à travers le tissage.

Les symboles qui reflètent ces tissus sont comme des livres ouverts, remplis de signes, faisant voyager l’esprit. On retrouve encore, en effet, des motifs caractéristiques des  graphies de l’art rupestre et des artefacts primitifs de l’humanité.

La païenne et le Tatouage

Comme sur le tissage, on retrouve aussi ce type de symboles géométrique sur les tatouages que se faisait la femme païenne, en particulier chez la femme Amazighes qui tatouait ses passages de la vie, son histoire sur sa peau, comme un chemin de vie. Ces symboles étaient des portails énergétiques qui servaient à communiquer des messages à travers les ancêtres, les dieux, et le monde invisible. Ils avaient de grandes vertus et étaient très puissants, notamment sur la protection et la guérison. Ils étaient faits avec une matière naturelle à l’aide d’une plante colorante. Aujourd’hui la signification des symboles sacrés tatoués est négligée, incomprise et prise à la légère  et peut avoir un effet inconsciemment néfaste sur notre vie, si ce n’est pas réfléchi, fait avec la connaissance initiatique et le cœur. L’homme se tatouait également, et c’était la femme qui se chargeait principalement de le graver sous la peau. Il fallait généralement être guérisseuse et chamane pour pratiquer le rituel dans les règles de l’art et surtout dans la sécurité.

Les tatouages pouvaient aussi servir à la reconnaissance du statut social ou à l’appartenance à une tribu.

Comment sont accueillis les tatouages ancestraux aujourd’hui ?

Si vous êtes une femme qui partez en direction d’un pays nord africain, le Maroc, Algérie ou Tunisie par exemple, et que  vous portez des tatouages à la vue des citadins dans les villes, vous serez généralement dévisager, mal vu. Jugés comme interdits avec l’islamisation, le sujet est devenu tabou en ville, certains se font même retirer leurs tatouages ancestraux car on leur a appris à en avoir honte et leur mémoire à été gommer. 

Tandis que si vous prenez la direction des petits villages et des petites fermes de campagne chez les ruraux, la réaction des anciens plus particulièrement, sera en général différente, là bas on trouve ça beau, et quand ceux-là sont de style Amazigh, leur curiosité est plus grande. Ils posent des questions comme, “êtes vous marié ?”. 

Car en effet, le premier tatouage, était le plus important dans la vie d’une femme paienne Amazighe, car il se faisait souvent lors de son mariage, son passage de jeune fille à jeune femme. Sauf peut-être dans certains cas où il était utile à d’autres fonctions importantes comme la guérison ou la protection. Il y a encore des parts d’ombres sur le sujet. Les connaissances ayant été perdues.

La tradition du tatouage chez les Imazighen

Dans la tradition Amazighe, faire son premier tatouage se préparait en amont à la période des fiançailles avant la finalité lors du mariage. Les futurs mariés “jeunes filles et jeunes garçons” définissaient le choix de leurs tatouages avec l’aide des anciens, qu’ils échangeaient comme une alliance.

l’homme se tatouait généralement le dessus de la main, les poignets, les chevilles ou les mollets. Alors que chez la femme, ils étaient plus étandus et nombreux sur son corps tout au long de sa vie de femme. 

Il était également fort possible que les femmes païennes Amazighes reçoivent leur premier tatouage lors de leur initiation au rang de combattantes à la période antique. Ces fameuses guerrières tatouées appelées Libyennes. Avec les guerres de religions, les nombreuses colonisations, la christianisation puis l’islamisation qui ont découlé au fil des siècles sur le territoire nord africain, le champ des possibilités s’est fortement réduit à l’unique but de se marier et fonder une famille pour les femmes. Le tout dans une tradition dénaturée, remplacée par d’autres.

Les Imazighen en dépit de leur islamisation progressive, pratiquent très rarement la polygamie. Les croyances et la mémoire ancestrale sont encore bien ancrées chez les ruraux, malgré les grands changements sociétaux, la disparition des dieux et de la tradition originelle.

La féminité

On ne peut parler de la féminité sans parler de la masculinité, car nous possédons ces deux  polarités en nous. La femme peut exprimer de la masculinité tout comme l’homme peut  exprimer de la féminité. 

En effet, la féminité peut s’exprimer et se percevoir de différentes manières, au travers de la  physionomie, l’attitude, le comportement, la parole, la gestuelle, le regard ou encore la  façon d’exprimer les sentiments.

Mais au-delà de ça, c’est quelque chose d’inné, on ne l’explique pas vraiment. La féminité  ne s’apprend pas et ne s’enseigne pas. C’est un comportement instinctif/intuitif, spontané et  naturel. Ce n’est bien entendu pas uniquement au travers des vêtements, des accessoires ou  des bijoux que la féminité s’exprime, mais le choix porté à ceux-ci aura une certaine  délicatesse, douceur, légèreté ou un certain raffinement, lorsque la féminité y est exprimée. 

Avec les stéréotypes que la société actuelle nous inculque, on a tendance à placer la féminité  de la femme dans l’apparence vestimentaire avec des dérives identitaires exacerbées. 

La femme païenne comprenait le fonctionnement de cela, des polarités à la fois  complémentaires et opposées entre son féminin et son masculin. Son corps de femme étant  physionomiquement lié au pôle de l’énergie lunaire (féminin) qui symbolise : la passivité, la  réception, l’accueil, l’inconscient, l’eau, l’hiver, le froid, le vide, l’émotion, la compassion,  l’obscurité et la terre. Le corps de l’homme est lié au pôle de l’énergie solaire  (masculin) symbolisant : l’émetteur, l’activité, l’action, l’assurance, le rationnel, le plein, le  conscient, le feu, l’été, le chaud, la clarté et le ciel. 

Lorsque ces deux pôles additionnels sont en symbiose, leur cohésion subsiste sans que l’un  ne domine vraiment l’autre. Nous avons besoin des deux pour être équilibrés. 

L’apogée de l’un implique toujours l’émergence de l’autre et cette loi s’applique aussi bien  dans le cosmos. C’est avec la connaissance de ces polarités que les femmes et les hommes se  comprenaient et s’aimaient. 

La maternité

De l’accouplement de ces deux pôles physiques, la femme a ainsi la possibilité d’accueillir en  son sein la semence, “la graine” de l’homme qu’elle a choisie. De leur union d’amour,  l’enfant prend vie, se développe dans son ventre comme l’arbre qui prend racine et germe  de sous la terre. Sans ces deux polarités “femme, homme”, “femelle, Mâle”, la vie ne peut  être créée et c’est de ces deux polarités physiques que nous naissons. 

Quand l’enfant est né, c’est avec son lait maternel que la mère continue de le nourrir de  nutriments à la racine, avec amour. Comme la jeune pousse d’une fleur ou d’un arbre, pour  qu’il grandisse, se développe, devienne grand, beau et fort. Accompagnée de son partenaire  et père de l’enfant ainsi que sa famille, elle veille à transmettre à l’enfant les enseignements  élémentaires à sa survie et son autonomie, comme la chasse, l’agriculture, l’art du combat,  le tissage, la médecine, etc., le préparant ainsi aux éventuelles tempêtes et dualités de la vie  qu’il pourrait rencontrer en lui laissant la liberté de grandir dans la direction qu’il souhaite  prendre.

Femme viking, femme celte, la plus connue des femmes païennes

C’est à l’équinoxe du printemps, à la date du 20 mars, que l’on célébrait la fête  d’Ostara/Oeustara, symbolisant la fertilité, le retour à la vie croissante, le commencement  d’un nouveau cycle et la fin de l’hiver. La nature et les animaux étant en pleine période de  reproduction et floraison. La femme païenne, en parfaite harmonie avec son environnement,  profitait de cet évènement pour faire ses vœux en famille en peignant les œufs qui seraient  ensuite cachés et trouvés par les enfants, préparant les bouquets et les couronnes de fleurs  pour décorer la maison. C’était aussi l’occasion de faire un grand nettoyage, de se  débarrasser de ce que l’on ne souhaitait plus dans notre vie, purifier la maison.

L’œuf représentait la naissance, la nouveauté, la fécondité, la fertilité, la vie. Mais il symbolisait également le soleil, l’œil du dieu « Odin ». On demandait aux enfants d’aller chercher les œufs cachés dans le jardin, souvent autour d’un arbre qui figure l’arbre sacré, pour sacraliser l’événement et rendre la fête amusante pour eux.

Ostara c’était la déesse de l’aube qui était chargée d’apporter le printemps. C’était aussi la naissance du bélier ou du bouc qui enfonce les portes pour renaître.

Les différentes femmes païennes dans le monde

Païenne de tradition Celte (Kelte) : La Gauloise, la Viking, la Slave, la Celte-Ibère, l’Alpine, la Germanique, la Celtique (grande-bretagne)

Païenne de tradition Amazighe : La Kabyle, La Touareg, La Chaoui, La Chleuh ou « Atlante / Guanche », La Rifaine. Elles étaient dans leur généralité appelées femmes Libyques.

Païenne de tradition Siam « Thaï » : La Karen, La Akha, La Hmong, La Lahu, La Lisu, La Yao. « Siam est l’ancien nom de la Thaïlande, changé en 1939, pendant la deuxième guerre mondiale.

Païenne de tradition Khmer « Cambodge »  : La Khmer, La Kouy, La Samrê, La Péar, La Kravet, La Tampuan , La Brao.

Païenne de tradition Maya : La Maya, La Toltèque, la Aztèque, l’Inca.

Païenne de tradition Camer : La Bassa, La Dogon…

Toutes ces traditions païennes dans le monde sont liées à une tradition commune.

Féminin sacré et féminisme : Pourquoi en parle-t-on autant aujourd’hui ?

Parce que depuis plusieurs siècles, avec l’arrivée massive de traditions religieuses totalitaires  qui se sont transmises, une énergie masculine déséquilibrée impacte et domine aujourd’hui  notre société, écrasant l’énergie féminine. N’étant plus connecté à son masculin sacré,  l’homme est en quête de pouvoir, de puissance et de compétition perpétuelles, séparant  ainsi la femme de l’homme. Cette énergie destructrice se transmet de père en fils. 

La femme est alors devenue mal considérée, réduite à satisfaire l’homme, cuisiner, gérer les  tâches ménagères de la maison en maternant et s’occupant seule des enfants. Elle porte une  charge mentale conséquente, l’homme à la masculinité toxique s’étant dispensé de toute charge jusqu’à son rôle de père. Ce qui a des conséquences dramatiques, car être paterné est  essentiel pour l’enfant ; il a besoin d’une figure masculine saine pour son équilibre. La  femme est conditionnée, imputée à des rôles et comportements à tenir dans cette société. 

Dans la société actuelle, tout doit aller vite. On ne prend plus le temps de faire les choses,  d’apprécier, ni d’aimer véritablement. 

Nous assistons maintenant à une forme de rébellion féminine face à l’homme et la  masculinité ; le courant du féminin sacré et féministe. Il s’agit pour la femme de redécouvrir  sa féminité et sa sensibilité et c’est très bien. Mais cette rébellion prend une tournure de  plus en plus malsaine tendant à devenir comme l’homme toxique qu’elles ont subi en  inversant les rôles. Avec l’utilisation de l’égalité homme, femme, des mouvements  féministes émergent et partent dans l’extrême allant parfois jusqu’à la volonté de la  destruction pure et simple de l’homme. 

Problème de société

Au lieu d’arrêter de se faire la guerre et de tenter de comprendre leurs blessures  émotionnelles, femmes et hommes continuent de se déchirer et la société actuelle exacerbe  ce phénomène en soutenant la cause féministe la plus extrême. 

Cette action permet à cette société de continuer de faire perdurer la division entre les  femmes et les hommes, créant des êtres faibles et perdus, occupés à se battre les uns contre  les autres alors qu’ils souffrent du même mal à la racine. 

L’homme doit comprendre que son refus de l’énergie féminine le mène inévitablement à  une masculinité toxique et qu’il peut choisir un modèle différent de celui qu’on lui a  traditionnellement transmis. 

Les femmes ont tendance à croire à tort que l’homme ne souffre pas de sa condition dans  cette société. Pourtant, comme la femme, il porte le lourd poids de la transmission  intergénérationnelle des comportements qu’on attribue au sexe masculin, créant un homme  qui peut se montrer parfois violent avec la femme. 

Dans le mouvement féministe extrême, l’homme n’a pas le droit de se montrer protecteur  ou même de faire preuve de galanterie étant jugée comme sexiste. Cette société tient à 

garder les femmes et les hommes montés les uns contre les autres. On retrouve ce  phénomène également dans leur sexualité avec l’identité de genre et des groupes sectaires. 

Cette société éveille un instinct primaire toxique et dénaturé de l’homme et la femme.

Transmission des traditions

La femme païenne veillait à la transmission des traditions dans le temps, pour les générations futures. Le but était qu’elles ne perdent pas la mémoire des ancêtres et de l’humanité, sachent d’où elles viennent et qui elles sont à l’aide de leur art artisanal et de l’histoire philosophique des dieux. Comprendre et connaître nos racines profondes nous permet de nous construire sur des bases solides et fait de nous des êtres forts et indomptables. Détenant la souveraineté, c’est la femme païenne qui jugeait, gérait les affaires du foyer et distribuait la nourriture nécessaire à l’alimentation et la vie de la tribu.

L’homme était chargé de la chasse du gibier. Ainsi il confiait le butin à sa femme pour qu’elle le partage et le distribue aux autres membre de la tribu. La femme païenne gardait le feu, protégeait la maison, préparait les repas, veillait sur les enfants, pendant l’absence de son époux partie en chasse ou au combat. Elle tissait, fabriquait des pots en terre cuite qu’elle décorait par la suite et fabriquait les bijoux avec soin. Elle pouvait se battre avec force et rage pour défendre le village et le foyer, formée à l’art du combat, la femme païenne pouvait choisir de se battre en guerrière au côté de l’homme. L’homme avait évidemment son rôle de transmission également. Les tâches étaient équitables et réparties entre la femme et l’homme.

Païenne dans une Société Libre, égalitaire et complémentaire

En conclusion, la femme païenne vivait dans une société libre, égalitaire, mais surtout  complémentaire, où femme et homme pouvait pratiquer les fonctions ou activités  souhaitées et avoir le choix. Un monde où les humains formaient une alliance en lien direct  avec une maison commune qui est la terre. Connectés aux mêmes fondements primordiaux  de celle-ci, dans leurs diversités, les humains avaient un esprit éclairé et une compréhension  de la vie beaucoup plus élevée que celle qu’on nous miroite aujourd’hui dans la société  actuelle. Il y avait des femmes et des hommes avec une masculinité et une féminité équilibrés et acceptés. 

La femme était bien traitée et précieuse dans cette humanité, comme la terre, elle  représentait le foyer, la maison, pouvant accueillir et donner la vie. La femme était tenue en  haute estime, elle était le pilier capital de la société, gardienne des traditions culturelles et  des savoirs ancestraux. Chaque mariage ou naissance d’amour était célébré et les couples amoureux, mariés avec beaucoup de joie et de bienveillance. 

Qui y a-t-il de plus beau que la femme pour symboliser le berceau de l’humanité ?

Simi

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