La mémoire volée des FRANCS-MAÇONS – Origine secrète Symbole Franc-Maçon

La Franc-maçonnerie est de loin la société secrète la plus célèbre, d’après beaucoup de personnes elle mènerait le nouvel ordre mondial. Il y aurait un complot maçonnique car ce serait au sein des loges que seraient prises les grandes décisions politiques, ce seraient les francs-maçons qui influenceraient la culture et les moeurs. Si leur influence en politique est incontestable, en revanche résumer la franc-maçonnerie à une grande confrérie uniforme et dominatrice, qui déploie un plan prévu depuis la révolution française jusqu’à nos jours est une analyse biaisée, car elle repose sur quelques désinformations : On dit par exemple que les francs-maçons furent les grands vainqueurs de la révolution, mais si en 1789 il y avait en France en 1000 loges maçonniques, 10 ans plus tard il ne restait plus que 75 loges ! C’est-à-dire que plus de 90% des loges maçonniques ont été éradiquées des suites de la révolution !

En 1799, un franc-maçon nommé Thomas Paine, écrivit un ouvrage intitulé : Origine de la franc maçonnerie : mais il ne le fit publier qu’à titre posthume parce que les révélations qu’il y faisait étaient dangereuses pour sa vie…

Franc-Maçon : De bâtisseurs à politiciens : L’origine occultée des premiers francs maçons

La première chose qui frappe lorsqu’on découvre les francs-maçons, ce sont leurs symboles, le compas et l’équerre et surtout l’œil dans la pyramide qui donne place à de nombreuses spéculations sur sa signification. Mais quel est l’origine réelle de ces symboles qui font fantasmer la terre entière ?

Le compas et l’équerre, ce sont les principaux outils de l’architecte, si ces outils ont été choisis comme symbole, c’est parce-que, comme leur nom l’indique, les francs-maçons, se revendiquent être des maçons, des bâtisseurs. Une pyramide est un bâtiment, un monument, on est bien dans l’univers des architectes et des bâtisseurs. Mais étonnamment, bien que les francs-maçons existent depuis plus de 300 ans, ils n’ont jamais construit le moindre monument, alors pourquoi se revendiquent-ils être des maçons ? C’est tout simplement parce-qu’ils prétendent être les héritiers des bâtisseurs du moyen-âge : les illustres bâtisseurs de cathédrales.

Pour faire simple au moyen-âge les maçons bâtissaient des cathédrales, mais au 18e siècle, ces maçons bâtisseurs avaient totalement disparu, et c’est à cette époque que les francs-maçons tel qu’on les connait aujourd’hui firent leur apparition. Ils empruntèrent des symboles, des rites et l’organisation des anciens bâtisseurs. Il faut dire que les bâtisseurs de cathédrale étaient déjà organisés en loge ou en guildes, et qu’ils comptaient une symbolique et une spiritualité qui leur était propre, indépendante de l’église, mais quel était cette spiritualité ? L’histoire officielle ne nous ne souffle pas un mot sur le sujet. L’église catholique aurait toléré leur hérésie, pourvu qu’ils réservent celle-ci à la confidentialité des loges. Si les bâtisseurs avaient ce privilège, c’est parce-qu’ils surclassaient le monde entier dans le domaine de la construction, comme s’ils avaient 1000 ans d’avance sur tout le monde. Leur prestige est tel, qu’il fut donc utilisé pour créer les loges modernes spéculatives. On a coutume d’appeler les anciens bâtisseurs, les francs-maçons opératifs, alors que les francs-maçons moderne qui ne construisent rien sont appelés les francs-maçons spéculatifs. Mais en réalité, Y-a-t-il une véritable filiation entre les maçons opératifs et les francs-maçons spéculatifs ? Pour répondre à cette question, nous allons étudier l’histoire des opératifs, ces maîtres bâtisseurs si prestigieux, si talentueux, qui ont pourtant disparu de manière subite du sol de France… Comment et pourquoi les loges opératives ont elles disparu ? Là encore l’histoire officielle est floue, et différentes théories s’affrontent : « La manière exacte dont les loges « spéculatives » se sont séparées des loges « opératives » (de métier) reste mal connue et demeure un sujet de recherche et de débats entre les spécialistes » Wikipédia Aujourd’hui aucun franc-maçon ne sait répondre à ces questions cruciales que sont le pourquoi de la transition de l’opératif vers le spéculatif, et de la disparition subite des maçons opératifs. Pourtant il y a 40 ans un historien a déjà répondu, il s’agit de Maurice Guignard, malheureusement, le résultat de ses recherches n’avait pas eu d’écho, jusqu’à ce que Oleg de Normandie reprenne ses travaux et les complètent. La réponse à ces questions est un énorme secret gardé par le Vatican, un secret qui réponds de manière très claire aux 3 principales interrogations : Quelle était cette spiritualité que les bâtisseurs devaient réserver au loges ? Que signifie ce fameux symbole de l’œil unique dans le triangle de la pyramide ? Comment les prestigieuses loges opératives ont elles pu disparaître aussi brutalement que mystérieusement ?

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Un franc-maçon moderne en tenue

Symbole Franc-maçon : Une origine gallo-viking

Le Vatican occulte complètement l’histoire et la culture païenne, notamment parce-que l’église a beaucoup de sang païen sur les mains. Cet œil unique dans un triangle, c’est l’œil d’Odin, le dieu borgne des Vikings et des derniers véritables druides gaulois. Les druides associaient le dieu du ciel au triangle, tout comme Pythagore. L’œil unique de Odin, c’est l’œil unique de Dieu, cette œil unique est présent dans toutes les anciennes religions du monde. En Égypte, c’est l’œil d’Horus qui répond à celui d’Odin. La France du moyen-âge, était encore loin d’être totalement chrétienne, cette fameuse spiritualité des bâtisseurs, c’était la religion d’Odin, la religion des Vikings. Il semble même que les bâtisseurs n’avaient pas à réserver ce culte à la confidentialité de loge, car en effet, les cathédrales qu’ils bâtirent étaient entièrement celto-odinique, les cathédrales Notre-Dame étaient entièrement dédiées aux déesses païennes et à Odin. C’est un énorme volet de notre histoire que l’on nous cache. La démonstration historique de ces faits, est réalisée dans le documentaire Templiers Vikings et Cathédrales ainsi que dans le livre Notre-Dame d’Odin . Ainsi, en plus d’avoir été des bâtisseurs hors pairs, les maçons opératifs étaient odiniques, le culte commun des derniers gaulois et des Vikings. Ce qui leur permettait de résister à la domination chrétienne, c’était leur savoir faire en construction, et c’est pour cela qu’ils se réunissaient de manière confidentielle en loge, afin de garder jalousement leurs compétences sans lesquelles, l’Inquisition chrétienne n’aurait fait qu’une bouchée d’eux. Jamais les bâtisseurs odiniques ne transmettront leur savoir en dehors des loges maçonniques odiniques, car ils savaient que cela aurait signé la fin de l’existence de leur religion. C’est cette fidélité religieuse des maçons opératifs, qui causera leur perte. En effet la franc-maçonnerie opérative disparait à cause des guerres de religions et de l’Inquisition chrétienne. C’est des suite des tentatives d’assassinat contre Henri IV, que le roi menacé se plia à la volonté des jésuites, et que la fermeture des loges de maçons opératifs fut prononcée, à la suite d’un complot jésuite mémorable dénoncé par Victor Hugo lui-même dans son roman Notre-Dame de Paris, un roman qui révèle de manière allégoriques ces grands secrets d’histoire et auquel nous avons déjà consacré un documentaire vidéo Le secret caché par Victor Hugo dans Notre-Dame C’est en faisant interdire le dernier bastion odinique : les loges de bâtisseurs, que les loges maçonniques opératives disparurent :

« En 1595, après l’arrestation de Jean Guignard, grand maître de la loge odinique de Chartres, l’école de Chartres fut sur ordre de Henri IV, fermée et reconvertie en salle de jeu de Paume » « les messes odiniques furent maintenues en la cathédrale de Chartres jusqu’en 1595 »    Maurice Guignard, les architectes odiniques des cathédrales

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La guerre de religions élimina les francs maçons opératifs odiniques

A partir de 1595, les maçons opératifs héritiers des bâtisseurs de cathédrales, ne construiront plus rien de significatifs, alors qu’ils étaient toujours très actifs, ils venaient en effet de construire les châteaux de la Renaissance, et notamment son joyaux : Chambord. Encore une chef d’œuvre qui porte la signature odinique. C’est Oleg de Normandie qui le démontra dans son documentaire Jeanne d’Arc la Valkyrie Les maçons opératifs ont donc été actifs jusqu’au début des guerres de religion, soit jusqu’à la seconde moitié du 16e siècle. Et depuis la disparition des maçons odiniques, on ne construit plus aucun chef-d’œuvre comme Notre-DAME ou Chambord, bien que le progrès technologique était censé le permettre. Seul le château de Versailles est de renommée internationale, mais bien qu’il soit beaucoup plus récent, sa technique architecturale n’est pas impressionnante du tout, là où Notre-Dame et Chambord défient les lois de la gravité, Versailles n’est qu’un grand bâtiment qui s’étend en quantité au sol, mais qui ne rayonne pas par sa hauteur, sur le plan de l’ingénierie architecturale, Versailles n’a rien de comparable avec ce que produisaient les maçons opératifs odiniques.

En 1595, suite à l’interdiction totale des loges odiniques sur le territoire français, et à la chasse aux sorcières qui en découla, les quelques maçons opératifs français rescapés de cette guerre civile religieuse, se réfugièrent dans le Nord, en Ecosse.

C’est ainsi qu’apparaît en Ecosse en 1598, soit 3 ans après l’interdiction des loges odiniques en France, la toute première loge de maçons opératifs écossais. L’Ecosse était en effet un pays où l’Inquisition chrétienne n’était pas aussi tenace qu’en Angleterre ou en France. C’est là que les bâtisseurs odiniques se réfugièrent, sous la protection de William de St Clair, un Lord écossais descendant de Viking. Cette loge se nomme les Statuts Shaw et on peut la considérer comme la toute première loge franc-maçonnique, car ce fut la première loge à accueillir des francs-maçons spéculatifs, c’est-à-dire des personnes qui ne sont pas des bâtisseurs.

« Afin d’échapper au bucher, les druides se sont dissimulés derrière le nom de francs-maçons afin de continuer à exercer secrètement »

Gwenc’hlan Le Scouezec, Les Druides, époque moderne

« suite à leur interdiction totale, les druidesses odiniques créèrent de loges maçonniques spéculatives, malheureusement leur tentative échoua »   Maurice Guignard

Dès 1599 William de St Clair créa la loge Mary’s Chapel, une loge d’apparence chrétienne. Il faut bien comprendre que le suprématisme chrétien est partout, et que les fraternités odiniques ne peuvent plus exister de façon officielle même en écosse, le vernis chrétien était donc nécessaire pour se protéger.

Le fait que ces toutes première loges maçonniques écossaises, soient héritières des authentiques bâtisseurs de cathédrales, ne veut pas nécessairement dire que les maçonneries modernes soient héritières. Pour cela il faudrait qu’il y ait eu une véritable transmission entre les francs maçons odiniques et les francs maçons modernes.

Francs maçons : des opératifs odiniques aux spéculatifs modernes

Nous avons vu que les francs maçons modernes utilisent des symboles d’origine odinique, mais cela ne prouve pas qu’il y ait une filiation, il semblerait même que ces symboles aient été usurpés, récupérés par les francs-maçons modernes. Ce dont nous sommes sûr, c’est que suite à l’Inquisition chrétienne, tous les odiniques, non seulement les bâtisseurs, mais aussi les intellectuels, les philosophes, les médecins, les druides, ils ont tous dû se réfugier en écosse pour survivre. C’est ainsi qu’est né l’intérêt d’avoir des maçons spéculatifs, afin de pouvoir accueillir et protéger les intellectuels, les druides et druidesses, au sein les loges de maçonniques. C’était pour accueillir ces intellectuels bannis de France que furent créés les premières loges spéculatives. Prenons l’exemple du Franc-maçon John Aubrey, cet archéologue a été reçu à la royale society de Londres en 1663. En 1649, il avait écrit un livre « Templa Druidum » sur le site mégalithique de Stonehenge en Angleterre, dans lequel il assimile le cercle de pierre à la religion des druides. Mais sous la pression chrétienne il ne put publier son livre qu’en 1695, 2 ans avant sa mort. John Aubrey était également chef du bosquet de Mount Haemus, un bosquet derrière lequel se cache un club druidique. John Aubrey est à l’origine de la tradition qui veut que les druides soient liés aux mégalithes.

En 1799, un franc-maçon nommé Thomas Paine, écrivit un ouvrage intitulé : origine de la franc maçonnerie : mais il ne le fit publier qu’à titre posthume parce que les révélations qu’il y faisait étaient dangereuses pour sa vie. Voici un extrait de ce livre :

« la maçonnerie dérive d’une très ancienne religion indépendante de la bible, et sans aucune liaison avec ce livre-là » « ce sont les persécutions chrétiennes qui obligèrent les druides restés attachés à leur religion originelle à se réunir en secret » « des restes de la religion des druides, une institution s’est formé, dont tous les membres, pour éviter le nom de druide, ont pris le nom de maçon, ils pratiquaient, sous ce nouveau nom, les rites et les cérémonies des druides »       Thomas Paine, De l’origine de la Franc-Maçonnerie

Cette franc-maçonnerie druido odinique, si elle devait garder sa religion secrète, enseignait en revanche librement la philosophie et les sciences Pythagoriciennes. Il faut savoir que Pythagore, le maitre du triangle, enseignait la même philosophie que les druides, et déclarait lui-même tout comme Aristote, que ceux sont les druides qui ont enseigné leur science aux grecs.

Mais au cours du 17e siècle, les loges opératives disparaissent inéluctablement, n’ayant ni les moyens ni le droit de construire des bâtiments odiniques, ils se replièrent alors totalement sur les loges spéculatives, ces dernières se développèrent en Angleterre. A la fin du 17e siècle, l’Angleterre et l’Ecosse ne comptent plus aucune loge opérative, en revanche il existe alors, une trentaine de loges spéculatives. On est cependant encore loin, très loin de l’essor de la franc-maçonnerie moderne qui aura lieu eu Europe au cours du 18e siècle et qui comptera plusieurs milliers de loges franc-maçonniques.

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La symbolique du franc-maçon moderne d’obédience judéo-chrétienne. On y retrouve les deux colonnes du temple de Salomon

Les francs maçons judéo-chrétiens face au Druid Order

Au début du 18e siècle, c’est sans doute sous l’influence des loges maçonniques odiniques, que l’Inquisition religieuse avait reculé, et des idées nouvelles permettaient un regain de liberté. C’est dans ce contexte que fut créé en 1717 la grande loge d’Angleterre, mais cette loge maçonnique est d’obédience judéo-chrétienne. En réaction au succès de la maçonnerie d’origine druido-odinique, l’organisation chrétienne venait de créer sa propre maçonnerie spéculative. Le mot juste n’est pas créer mais plutôt copier, car ils copiaient sans vergognes les concepts et les symboles des maçonneries odiniques, le pompon étant, qu’ils osèrent se revendiquer héritiers des bâtisseurs, notamment en s’appuyant sur la légende du temple de Salomon de Jérusalem qu’ils promurent comme nouvelle référence des bâtisseurs, pourtant, aucune preuve de l’existence du temple de Salomon n’a jamais été apportée. C’est à partir de cette grande loge d’Angleterre que vont découler toutes les loges maçonniques modernes. Les statuts de la grande loge d’Angleterre furent rédigés par un pasteur protestant nommé : James Anderson, l’ensemble des textes ne font référence qu’à une tradition biblique sans jamais mentionner nulle part l’origine païenne de la franc-maçonnerie.

« Dans l’initiation maçonnique, on ne trouve aucune trace de druidisme, mais un ensemble d’éléments d’origine hébraïque […] le mot de passe est biblique, le mot sacré est le nom du dieu des hébreux. »            Gwenc’hlan LE SCOUEZEC

Face à cette spoliation, les authentiques maçons héritiers des bâtisseurs de cathédrales, vont enfin oser affirmer au grand jour leur identité réelle : c’est la création du Druid Order qui eut lieu 3 mois jour pour jour après la création de la grande loge d’Angleterre, comme pour signifier une protestation face à l’usurpation du concept de maçonnerie, comme pour dire : la maçonnerie est druidique et non judéo-chrétienne ! Plus d’un siècle après leur arrivée en Ecosse en tant que réfugiés, les maçons d’origine française avaient décidé d’officialiser leur existence à Londres avec le Druid Order. Une tradition d’Oxford nous rapporte la liste des fondateurs du Druid Order, et le moins que l’on puisse dire c’est que les noms des fondateurs sentent bon l’origine gauloise : Le premier fondateur est Pierre Desmaiseaux, on trouve ensuite une majorité de noms anglais mais avec des pseudonymes gaulois : Cingetorix, Brennos, ou encore Caradoc. Enfin la présence de deux femmes parmi les fondateurs montre la mixité qui règne dans la Tradition odinique, par différence avec la franc-maçonnerie judéo-chrétienne, interdite aux femmes. L’un des premiers grands druides fut William Stukeley, c’était un très grand médecin reçu à la Royal Society en 1718. En 1721, il était admis et initié franc-maçon à Londres, mais Stukeley ni restera que deux ans, car dès 1723 il s’écarte définitivement de la franc-maçonnerie, cette dernière étant devenu tout autre chose que ce qu’elle fut. En effet la grande loge judéo-chrétienne de Londres réforma toutes les loges maçonniques de grande Bretagne, même les plus anciennes loges devaient se plier aux nouveaux dogmes chrétiens ou disparaître. Les authentiques héritiers des bâtisseurs venaient de perdre tout contrôle sur la franc-maçonnerie qu’ils avaient pourtant créée, on venait de leur voler leur création et leur passé. Mais William Stukeley et le Druid Order continueront à se battre, notamment en publiant des études sur les cercles de pierres mégalithiques, ils révélèrent les grandes connaissances mathématiques et astronomiques associées à ces monuments. En dehors de cela, il n’est malheureusement pas possible d’en savoir plus sur le Druid Order de cette époque car ses archives ont toutes été détruites pendant la seconde guerre mondiale.

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Emblème actuel du Druid Order. Le lien entre la triquetra et le tricercle y est révélé

Lutte contre grand orient de France pour la mémoire volée des francs-maçons

Il est amusant de constater que les archives paiennes disparaissent beaucoup plus que les autres.
Terminons avec la Franc-maçonnerie française : elle apparait en 1725, elle est calquée sur le modèle judéo-chrétien Anglais, qui sera appliqué dans toutes les maçonneries sans exception. Pour résister tant bien que mal, certains druides deviendront discrètement francs-maçons afin de tenter d’influencer positivement la maçonnerie chrétienne. Et cela porta ses fruits sur le plan culturel : on sait que Victor Hugo était proche de la franc-maçonnerie, il y rencontra des francs-maçons secrètement odiniques comme Violet le Duc, Violet le Duc est le bâtisseur de la flèche de Notre-DAME de Paris qui est partie en fumée il y a trois ans, car cette flèche datait du XIXe siècle, la précédente avait déjà été détruite, que voulez vous, elle est païenne…
C’est donc l’initié odinique Violet le duc, le plus grand architecte du XIXe siècle, qui inspira à Victor Hugo le Roman Notre-Dame de Paris. Une fiction qui révèle de manière allégorique l’identité odinique de Notre-Dame. Victor Hugo va même jusqu’à dénoncer le complot qui a permis de faire fermer les loges de bâtisseurs odiniques de France. Pour le décryptage complet du roman, regarder le documentaire : Le secret de Victor Hugo caché dans Notre-Dame

Oleg de Normandie, pour la Justice et la Vérité.

PS : Article en lien avec la vidéo Histoire secrète des Francs Maçons

SOURCES : Thomas Paine, John Aubrey, Gwenc’hlan LE SCOUEZEC, Maurice Guignard

-Bibliographie : Patrick Négrier, Textes fondateurs de la Tradition maçonnique Patrick Négrier, La Tulip, Histoire du rite du Mot de maçon L’Invention de la franc-maçonnerie, Roger Dachez Nouvelle histoire des francs maçons en France, Alain Bauer et Roger Dachez Le Mystère de la Rose Blanche, Francs-Maçons et Templiers au xviiie siècle, André Kervella Aux origines de la Franc-Maçonnerie française, André Kervella Les Premiers Francs-Maçons, David Stevenson Daniel Ligou, Dictionnaire de la franc-maçonnerie Paul Naudon, Histoire générale de la franc-maçonnerie Jiri Pragman, L’antimaçonnisme actuel

Comments2

  1. Bonjour oleg, je me posais une question concernant les cathédrales, une impression que les ogives font penser à la rune mannaz et les arcs-boutants la rune fehu…
    Merci
    Cdt

  2. Merci Oleg pour toutes les précisions, de véritables pépites.

    L’œil Divin ne serai-t-il pas intérieur ou Un Terre Rieur ?

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