Les Vikings en Amérique centrale et du Sud : Les Vikings n’étaient pas exactement ce que l’on raconte sur eux, en réalité ils représentent la face cachée de notre histoire, il représentent l’ancienne civilisation libre et spirituelle que les hautes élites intellectuelles nous cache ardemment. Dans le dernier documentaire d’Oleg de Normandie Découverte d’une Pyramide Viking au Mexique sur Pagans TV, il nous est révélé une pyramide Vikings en Amérique : la pyramide du serpent à plume sur le site de Xochicalco au Mexique. Mais est-ce la seule preuve de la présence Viking parmi les peuples Nahuals, Mayas et Incas ? Non absolument pas, il existe bien d’autres preuves déjà dévoilées dans le livre Notre-Dame d’Odin notamment, vous trouverez dans cet article une longue liste de preuves ; pourtant, nous nous restreignons ici à ne citer que ce qui ne vient pas spécifiquement ni de Jacques de Mahieu ni de Maurice Guignard. Ainsi, les accusations stupides des détracteurs d’Oleg de Normandie qui proclamaient qu’il s’est uniquement inspiré des travaux de Jacques de Mahieu et Maurice Guignard s’évanouissent dans un vide sidérale.
Vikings en Amérique du sud et centrale : récits et traditions
Il existe de très nombreux éléments culturels et linguistiques, la toponymie, la tradition précolombienne des peuples amérindiens et les témoignages des espagnols à leur arrivée, qui indiquent explicitement que les amérindiens ont eu des liens profonds avec un peuple occidental de langue kelto-nordique. Mais la relation entre le monde occidental odinique et l’Amérique est également prouvé par des artefacts matériels déterminants, ainsi que par des temples de religion odinique.
Pris pour des dieux !
Lorsqu’au XVIe siècle, les espagnols débarquèrent au Mexique et au Pérou, ils furent pris, parce-qu’ils étaient blancs, pour les descendants des sages odiniques qui étaient venus des siècles plus tôt leur apporter la civilisation et qui avaient été divinisés dans la religion locale. Les dieux étaient le souvenir de ces êtres d’une grande sagesse ayant apporté de nombreux bienfaits au peuple amérindien. C’est tout naturellement que les Incas les accueillirent, à tort, comme des dieux, car les espagnols n’avaient rien à voir avec les kelto-vikings venus des siècles plus tôt, eux étaient chrétiens et leur seule motivation était les énormes quantités d’or détenues par les amérindiens.
Les amazones
Quand les Espagnols de Orellena débarquèrent pour la première fois en 1539 sur l’Amazone, ils furent attaqués par des femmes guerrières blanches, parfois blondes et rousses ! Les espagnols n’en crurent pas leur yeux, jusqu’à se faire percer de la pointe de leurs flèches… Ces femmes guerrières de la lignée des vierges au bouclier, les Skjaldmeyar, divinisées dans la religion sous le nom de « Valkyries ». Elles avaient gardé leur monde de vie, elles ne vivaient qu’entre femmes, elles voulaient garder le privilège du commerce de bois brazil qu’elles tenaient toujours avec les marins normands de Dieppe. Lorsqu’Orellana raconta cela en Europe, peu de gens le crurent ! Mais il nomma néanmoins ce fleuve « Amazone », du nom de ces guerrières filles de la déesse « Amma », autre nom de la déesse guerrière Freya/ Dana, elles étaient les descendantes des druidesses ou hallouines d’origine européenne, dont Jeanne d’Arc est la figure la plus célèbre, bien que son histoire ait été totalement dévoyée.

Proue d’un drakkar ou Snekjar à tête de serpent
Le serpent à Plume décrit les bateaux vikings en amérique
Les Traditions amérindiennes sont constamment déformées par la malhonnêteté des archéologues soumis au lobby chrétien, ce qu’il fait qu’on entend rarement que le dieu civilisateur serpent à plume est venu sur un bateau serpent, cependant il est bien dit dans chaque Tradition que Quetzalcoatl est arrivé de la mer par une barque « sur un serpent » ou « avec un serpent ». Le rapprochement avec les longues barques Vikings est évident, car les navires aux proues relevées figurent un serpent ou un dragon, ce sont toujours des barques et on les nomment Snekkar (de Snakr = serpent) ou drakkar (dreki = dragon). De plus Quetzalcoatl est blanc et barbu, les plumes font référence aux ailes des casques gaulois ou vikings, et Quetzalcoatl est bien venu de l’océan de l’Est (atlantique).
La Tradition Inca
Le terme « Inca » / « Inka » vient du kelto-norrois « Ing » qui signifie « descendance ». Les élites Incas étant les descendants des Vikings, ils choisirent pour eux le nom qui signifie cela dans la langue de leurs ancêtres vikings. Mais les Incas possèdent également sur leur vêtements traditionnels des runes vikings : La rune Ing, la rune Dagaz et la double Dagaz ou « pyramide vue de dessus ».
La Tradition Totonaque des Voladores
Les Totonaques sont la tribu dont les ancêtres sont réputés avoir construit les grandes pyramides du Mexique comme à Teotihuacan, les Totonaques sont étrangement bien moins connus que les toltèques, dont ils restent néanmoins une tribu cousine. Je pense que les agents chrétiens ont décidé de focaliser sur les toltèques de manière à éviter que l’on focalise sur les Totonaques, car les preuves de leur odinnité, de leur ascendance Viking sont nombreuses. En dehors du fait qu’ils arborent la rune Ing sur le fronton de leurs sculptures, ils possèdent une Tradition qui illustre le dieu Odin dans son rituel magique de découverte des secrets des runes et de renaissance. Quatre hommes se suspendent à un mat/arbre la tête en bas, et ce afin de figurer Odin pendu, 4 fois, pour relier le rituel à la rune Gar présente sur les temples d’El Tajin, rune liée à la croix d’Hendaye au pays basque. (voir Notre-Dame d’Odin ou le Film Templiers Vikings et cathédrales pour les explications)

Sculpture Totonaque arborant la rune Viking nommée Ing
Vikings en Amérique latine: Les preuves physiques
La pyramide de Xochicalco
Le bas relief de la pyramide du serpent à plumes est un récit de l’arrivée des Vikings en Méso-Amérique, le temple contient différents signes celto-vikings comme la roue solaire, l’Irminsul ou encore les runes Ing, Odal et Gebo. (voir la vidéo citée en introduction)
Les autres temples Vikings d’Amérique
Un des temples d’El Tajin comporte la rune Gar représentée à plusieurs reprises, le temple a été spécialement conçu pour mettre en avant ces runes. La rune Gar c’est surtout 4 runes Odal, Odal est la rune d’Odin, les 4 odals sont liées à la Tradition des Voladores et à la croix d’Hendaye, mais on retrouve aussi de nombreuses runes sur les temples des sites de Uxmal, de Kabah, et de Ruta Puuc, entre autres. On y retrouve des runes Ing et Gebo notamment. On retrouve également sur ces temples des Swastikas dont le tracé est généralement décomposé branche par branche et d’autres signes comme les roues solaires.
La croix basque d’Hendaye
Au pays basque, à l’extrême sud ouest de la France, coincé entre la mer et les pyrénées, se trouve la ville d’Hendaye, celle-ci comporte une croix chrétienne pas très catholique dont les motifs du socle sont longtemps restés mystérieux. En effet le socle comporte un bas relief sur lequel est sculpté, entre autres, le soleil des Incas et une roue solaire comportant 4 signes qui, si on les assemblent, forment la rune Gar : les 4 odal qu’on retrouve à El Tajin et dans la Tradition Voladores des Totonaques. Sans connaître ni la croix d’Hendaye ni El Tajin et les Totonaques, Maurice Guignard avait montré que ce signe, 4 fois présents sur la croix d’Hendaye, était une variante de la rune Odal, une sorte d’Odal ésotérique réservée à certains initiés. La croix d’Hendaye présente donc la rune Gar d’une manière différente, mais la finalité est la même, mieux, en divisant Gar en 4, et en les associant à la roue solaire qui se trouve en haut de l’arbre de la Tradition Totonaque, la croix d’Hendaye figure également la Tradition des Voladores.
La culture et toponymie basque
Les légendes basques rattachent le peuple basque aux atlantes et aux peuples indiens d’amérique. La croix Basque est un swastika, leur langue est très ancienne et on retrouve des traces de runes dans le pays dans les noms de lieu, mais aussi sur un artefact archéologique retrouvé récemment, pardonnez moi d’en avoir oublié le nom, les abonnés me le retransmettrons. Citons également la montagne qui se nomme « La rhune » proche d’Hendaye, il existe également une toponymie de noms de lieux de style similaire aux noms amérindiens. Les noms de lieux racontent également une histoire de mines d’argents…

La pyramide du serpent à plumes à xochicalco, un temple des vikings en amérique
Les mines d’argent épuisées d’Amérique du Sud
Au Pérou, en Bolivie et au Brésil, à l’arrivée des espagnols, se trouvaient d’importantes mines d’or et d’argent épuisées, elles avaient été exploités par les Vikings en collaboration avec les amérindiens. L’abondance de cette richesse et la rivalité avec le monde christo-romain avait poussé les Vikings a gardé le secret de l’amérique. Cette abondance en métaux précieux fut la cause de l’expansion économique de la Normandie Viking, et surtout cette argent fut la source du financement des cathédrales, les premières cathédrales naissent naturellement d’abord en Normandie, puis s’étendent sur le reste de la Gaule. L’ascension économique de la Normandie puis de la Gaule, le financement des cathédrales, la cause de l’embellie de l’occident à cette période et son financement, est une question dont la réponse des archéologues officiels n’est pas satisfaisante ; on sait qu’apparue à cette époque une forte quantité de monnaie en argent, dont les archéologues ne peuvent expliquer la provenance… L’argent venait d’Amérique, un continent connu et exploité par les Vikings, ce qui explique les nombreux signes païens odiniques des cathédrales gothiques.
La tapisserie d’Overhogdal et carte de Waldseemüller
-Les tapisseries d’Överhogdal sont des fresques tissées constituées de cinq teintures datant de la fin du XIe / XIIe siècle, extraordinairement bien conservées, découvertes à Överhogdal en Suède, et présentées de nos jours au musée Jamtli (Jämtlands läns museum), à Östersund. On peut discerner sur ces fresques des Lamas, cet animal au long coup qui n’existe qu’en Amérique du Sud était donc déjà connu des tisseuses normandes !
-La carte de Waldseemüller : Cette carte représente avec précision toutes les côtes de l’Amérique du Sud au Nord, elle sorti en 1507 à St-Dié en Lorraine et devança Magellan de plusieurs années pour ce qui est de la découverte totale du continent Sud-américain. Waldseemüller était aux ordres de René II de Vaudémont, Duc de Lorraine et surtout descendant des rois normands de Sicile, c’est ainsi qu’il eut accès aux archives des cartes secrètes de l’abbaye de Nottonville, près de Chartres, ville historiquement normande et centre intellectuel Odinique au moyen-âge.
Les artefacts polémiques de Templiers Vikings et Cathédrales
Vikings en Amérique : Les sceaux secrets des templiers
Le sceau secret du grand-maître est un sceau incontestable, il y figure les trois triangles d’Odin, dont la plus célèbre représentation est le Valknut, c’est une preuve indiscutable :

Sceau secret du grand maître de l’ordre des templiers
Un autre sceau secret comporte un indien avec la couronne de plumes, c’est « le sceau secret du temple », ceci est incontestable mais soumis à interprétation : Les jésuites ont inventé la mythologie de l’abraxas pour désigner ce personnage à plumes et détourner le sens du motif. Sur une version de ce type de sceau se serait trouvé la rune Odal et la roue solaire, mais la version en question n’a jamais été retrouvé, les archives nationales sont en effet incapables de nous présenter cette version de sceau qui avait pourtant bien été publié par la magazine Atlantis dans les années 60 ! Ce magazine aux mains des jésuites avait semble-t-il occulté les signes païens, car ils avaient bien été rapportés par Jacques de Mahieu et Thierry Wirth… Enfin un troisième type de sceau secret figure deux templiers sur un même cheval, portant un bouclier avec une croix à huit branches. Les 4 jambes humaines et les 4 jambes du cheval, plus les 8 branches, suggèrent que l’ont fait allusion au cheval à huit jambes d’Odin : Sleipnir.
En savoir plus sur les sceaux des templiers : https://esprit-viking.com/la-preuve-a-disparu-enquete-sur-les-sceaux-secrets-des-templiers/

Le sceau « perdu » par les archives nationales qui fait polémique
Conclusion
Ne croyez pas que cet exposé est exhaustif, nous nous sommes en effet privé des éléments de preuves amenés par Jacques de Mahieu, de manière à séparer notre travail de ce personnage sulfureux dont nos adversaires se servent pour nous discréditer. Vous pouvez cependant consulter son travail dans ses livres que nous éditons aux éditions L’esprit viking, disponibles via les liens ci-dessous. Nous nous sommes également privé du travail considérable de Maurice Guignard, historien décoré de l’ordre du mérite de Berlin, mais non reconnu par les archéologues français, comme tous travaux honnêtes n’allant pas dans le sens de leur idéologie politico-religieuse non avouée.
Bref, les preuves de la présence d’occidentaux keltes odiniques sur le continent sud-américain et méso-américain sont abondantes, l’alliance entre le peuple païen d’Europe et les tribus amérindiennes a produit une sublime civilisation de bâtisseurs pacifiques, montrant ainsi à la face du monde le véritable visage belliqueux et laid de la civilisation judéo-chrétienne, la civilisation cupide, qui a établi son règne par la violence, le génocide et le mensonge institutionalisé pour faire oublier ses crimes.
Oleg de Normandie
-Les livres de Jacques de Mahieu : Drakkars sur l’Amazone et Le grand voyage du dieu-soleil
–Le livre d’Oleg de Normandie qui raconte tous les secrets d’histoire des Vikings, de l’esclavage et des cathédrales : https://esprit-viking.com/produit/notre-dame-d-odin/
-Le Film Templiers Vikings et Cathédrales
-Le Film qui dévoile la vérité sur la traite des païens et le phénomène Viking : https://youtu.be/ddPeyhwsdLM
-Soutenir la production des prochains FILMS QUI CHANGENT LA DONNE : https://www.helloasso.com/associations/pagans-libres-paiens/
-Soutenir Oleg de Normandie : https://www.tipeee.com/l-esprit-viking
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour laisser un commentaire.